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22 octobre 2007

US CHARTRONS VS US TURSAN, THE COME BACK

Contexte très particulier pour ce match contre Elan Tursan (entente Geaune Saint-Loubouer) samedi dernier : - Abdou est de retour à la tête de l’équipe, et a dirigé jeudi le premier entraînement de l’équipe depuis 3 semaines. - Sandy épouse Badra (je parle au nom de l’équipe en leur réitérant nos félicitations et nos vœux de bonheur), et à son absence viennent s’ajouter celles d’Aymeric, heureux témoin, et de Fred. - L’équipe 2, qui jouait juste avant nous, perd son match contre Mérignac, principal prétendant à la montée de leur poule, par un écart d’1 point et sur un panier improbable dans les 10 dernières secondes. Match à priori délicat, pour une équipe peu ou pas entraînée, et privée de plusieurs cadres, face à une équipe devant nous au classement, et qui reste certes sur deux défaites, mais la dernière encourageante pour avoir fait trembler le leader invaincu Gardonne. L’avantage est pris dès le début du match grâce à une bonne adresse extérieure et une grosse agressivité offensive. L’écart oscillera tout le long du match, ne dépassant jamais les 15 points, mais jamais les landais ne réussiront à nous passer devant. N’ayant jamais réussi à vraiment faire le trou, nous nous sommes un peu exposés à un retour dans les dernières minutes, qui a bien eu lieu grâce notamment à une adresse extérieure impressionnante, mais nous avons réussi à gérer nos personnalités et notre jeu pour l’emporter sur un score de 82-76. Cette victoire nous fait du bien, car elle nous redonne de la confiance, et des sourires sur les lèvres à la fin du match, même si la machette n’est pas encore de retour pour sanctionner les victoires ! Se dressent maintenant devant nous deux déplacements périlleux, d’abord au Pian Médoc, pour notre premier derby girondin du championnat, puis à Bruilhois, où on sait que, comme l’année dernière, nous affronterons une équipe motivée dans une ambiance très bruyante. Il nous faut donc être sérieux aux entraînements cette semaine, en commençant par arriver à l’heure (n’est-ce pas les deux compères arrivant de manière quasi-systématique avec 20 minutes de retard, toujours dans la même Punto à la couleur difficilement descriptible ?), et ceci pour regagner un peu de condition physique, et de combativité défensive, qui nous ont fait défaut samedi dernier. Je suis persuadé que si on arrive à enchaîner deux ou trois victoires, la confiance accumulée nous rendra une équipe très difficile à battre, comme en fin d’année dernière. Encore tous nos vœux de bonheur à Badra et Sandy, et merci à eux pour cette belle soirée d’après match.
Benjamin

16 octobre 2007

LA CHUTE

Je suis censé faire un résumé de notre dernier déplacement donc je vais faire bref,
après une semaine sans coach et sans entraînements, Abdou nous avaient convoqués
samedi avant pour nous expliquer sa situation ça sentait le "il faut qu'on parlent"...
Pour les détails de la réunion demander au autres joueur(je suis arrivé (en retard)
à mon heure et quand quelqu’un parle plus de cinq minutes je décroche).
Vous étiez tous au courant on a perdu le coach suite a cette réunion : pour ma part je peux comprendre les raisons de son départ mais pas la manière( tu pourras me citer).
Après le départ de celui qui a été notre coach on fait l’état des troupes , Thierry et Memba manquent à l’appelle le premier arrivera à son heure et le deuxième est porté disparu(Memba pense à donner ton nouveau numéro de tel et change ton foutu répondeur)
C’est donc groggy que nous partîmes vers notre (défaite) match, dans une bonne ambiance agrémenté de blague morbide sous la pluie et sur une route à peine goudronnée.


Jusqu’ici tous vas bien , jusqu’ici tous vas bien…
Le match maintenant, bah on l’a perdu l’envie y étais mais pas la manière, il y avais du mieux mais nos choix de fin de match nous ont perdu(il y a eu aussi notre maladresse, nos absence en défense, la double entorse de Thierry(dsl fallais un coupable) ).
Bref un samedi à oublier.(sauf la victoire du 15 de France dédicace à romain).


Je profite maintenant que j’ai le contrôle du blog pour pousser ma gueulante y’en à marre on ne joue pas intelligemment le dernier match contre le b.e.c le demontre,on les a dominés pendant trois quart temps , leur coach a tous testé : la zone presse tt terrain, la défense de zone de multiple changements on est quand même resté devant en jouant collectif (ou presque ) en défendant ensemble, leur zone presse a été passer sans dribbles et pour la première fois de la saison nous avons réussi des contres attaques. Pendant trois quart temps on s’est c***r la b**e (lire chier la bite) pour rester devant au score et en dix minute on leur a donné ce foutu match, à coup de grande envolée solitaire entre deux voir trois défenseurs, de passes dans le mur ou à l’adversaire le ballon ne passait même plus le millieux du terrain, des shoots encore plus forcés, des mauvais choix. Tous nos travers sont revenus dans la dernière ligne droite il semble que l’on ne veuille pas gagner cette saison.



Nous nous sommes peux etre vu trop beau avec notre bon mais decevant resultat de la saison derniere , donc avec l'arrivé d'un nouvel entraineur, je pense qu'il serait bien qu'on se remettent TOUS en cause la montée s'eloigne mais n'est pas encore hors de porté, cela ne tiens plus qu'à nous...

Le plus dur c'est l'arrivé

Fred




Voici pour finir quelques clichés de notre photographe officiel : Frederic Soussotte(photo33fred@yahoo.fr). Un grand merci et un grand bravo pour la qualité de ses photos.
































01 octobre 2007

CROQUER A LA SAUCE BEARNAISE

Samedi soir nous signions notre seconde défaite consécutive, résumons la en deux nombres :
→80 c’est le nombre de points que l’on encaisse face à cette pâle équipe de Luy de Béarn.
→23 c’est nombre de points inscrit par le « petit » 5.
Où est passée la meilleure défense du championnat ? Notre équipe a-t-elle perdu son identité ?
Arrêtons de cibler les mauvais problèmes, notre crise est défensive et non offensive.
Arrêtons de parler des choix en attaque, arrêtons d’affirmer que les intérieurs n’ont assez pas le ballon, que les ailiers tirent trop vite trop souvent, que les meneurs gardent trop la balle ou je ne sais quoi d’autre !!!
L’agent spécial Mulder nous dirait « La vérité est ailleurs ». La vérité c’est que nous avons oublié la notion du dépassement de soi. On est là planté dans nos baskets à regarder les adversaires faire leurs petites passes, leurs petits shoots, à regarder nos coéquipiers faire leurs petites actions. Au pire on se dit même qu’ils auraient dû nous faire la passe. Mais le plus grave est qu’on ne va pas faire l’effort supplémentaire qui permettrait de débloquer la situation. On se laisse submerger parce qu’on ne se sent pas la force d’aller plus loin.
Voilà où se situe notre vrai problème. Il est dans cette sensation, dans ce sentiment paradoxal qui fait qu’a un moment donné on se laisse gagner par une sorte d’état second léthargique. Bien que réelle, cette émotion est quasi inexplicable. On en parle souvent après le match en se disant « je ne comprends pas pourquoi je n’avais l’envie… ». Le problème, c’est qu’il déjà trop tard, la défaite est subie et on n’est loin d’être à l’abri d’une répétition de ce même scénario.
Alors que faire ? On continue à en parler pendant des heures ? Ou on agit ? Je pense que nous avons déjà que trop parlé, et qu’il est désormais plus que temps de faire place à l’action ! Mais attention ne nous voilons pas la face, « agir » n’est qu’un mot. La véritable action passe par des actes !
La question est donc de savoir comment fait-on pour atteindre ce dépassement de soi ? Certains diront qu’il faut se concentrer, se recueillir en son for intérieur dans l’espoir de trouver des ressources insoupçonnées. Je pense qu’il s’agit là d’une fausse route. On est une équipe : on joue ensemble, on gagne ensemble et on perd ensemble. Aussi l’équipe ne peut se résumer à l’addition simple de chaque individualité. Quand je rentre le parquet ce n’est pas pour faire mon match, ce n’est pas pour marquer mes points. Quand je rentre sur le parquet c’est pour me mettre au service de l’équipe. Dés lors si je ne sens pas en forme, si je n’ai pas la rage de vaincre, ça n’engage pas que moi, ça tue également l’équipe (certains écervelés parlent « d’assassination » ?).
Alors REAGISSONS ! Arrêtons de fixer nos pompes et regardons nous dans les yeux afin que chacun puisse voir la rage dans le regard de l’autre. Encourageons nous, poussons nous, frappons nous s’il le faut, mais bordel de merde soyons des guerriers sur le terrain.
Le soir où vous ne sentez pas la force de le faire pour vous, dites vous que vous le devez pour les autres
Pour ma part, soyez sûr que je suis prêt à en découdre et à défendre coûte que coûte les couleurs jaunes et noires.
Vive les Chartrons !
Olivier
(suite à venir)